Carmel de la Trinité
Metz-
Plappeville
Bienvenue
Sa Majesté, le Seigneur, a été le vrai livre dans lequel j’ai « vu » toutes les vérités.(Ste Thérèse d'Avila-Vie 26,5)

Ste_Th._Andes.jpgContemplons le Christ avec Sainte Thérèse de Los Andes (Chili)

Elle est présentée comme modèle de sainteté au JMJ 2013
Voici un extrait de ses écrits spirituels

Y a-t-il quelque chose de bon, de beau, de vrai, que nous puissions concevoir et qui ne soit pas en Jésus ?
La sagesse, pour laquelle rien n’est secret.
La puissance, pour laquelle rien n’est impossible.
La vérité, qui n’exclut absolument ce qui n’est pas.
La justice, qui l’a fait s’incarner pour sauver l’homme du péché, du désordre .
La providence, qui toujours veille et soutient.
La miséricorde, qui ne cesse jamais de pardonner.
La bonté, qui oublie les offenses de ses créatures.
L’amour, qui réunit toutes les tendresses d’une mère, des frères, de l’époux et qui,
le faisant sortir de l’abîme de sa grandeur, le lie étroitement à ses créatures.
La beauté, qui ravit…
Que peux-tu imaginer, à l’intime de l’âme, qui ne se trouve réellement à un degré infini en cet Homme-Dieu ?
Peut-être crains-tu que l’abîme de la grandeur de Dieu et celui de ton rien ne puissent jamais s’unir ?
En Lui est l’amour.
Cette passion l’a fait s’incarner pour qu’en voyant un Homme-Dieu
on ne craigne pas de s’approcher de Lui.
Cette passion l’a fait se convertir en pain 
pour pouvoir assimiler et faire disparaître notre rien en Son Être infini.
Cette passion L’a fait donner sa vie, en mourant sur la croix.
Crains-tu de t’approcher de Lui ?

Juanita Fernandez Solar est née en 1900. Dès l’âge de 16 ans, elle lit « L’histoire d’une âme », puis elle s’initie à la doctrine de Ste Thérèse d’Avila sur l’oraison et Elisabeth de la Trinité l’attire par ses écrits ; Junita se sent appelée à une vie d’adoration et de louange de Dieu. Le 7 mai 1919, elle entre au Carmel de Los Andes (Chili) et prend le nom de Thérèse de Jésus. Elle meurt du typhus le 12 avril 1920. Au milieu des épreuves de sa Foi, a grandit en elle la certitude que
« Dieu est joie infinie ».

Regarde-Le entouré d’enfants.
Il les caresse, Il les presse contre son Cœur.
Regarde-Le au milieu de son troupeau fidèle,
prenant sur les épaules la brebis infidèle.
Regarde-Le sur la tombe de Lazare.
Ecoute ce qu’Il dit de Madeleine : « Il lui est
beaucoup pardonné parce qu’elle a beaucoup aimé ».
Que découvres-tu dans ces lueurs de l’Evangile sinon
un Cœur bon, doux, tendre, compatissant, enfin le Cœur d’un Dieu ?
C’est Lui ma richesse infinie, ma béatitude, mon ciel.